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L’ex-président sud-coréen Yoon Suk-yeol a nié lundi 14 avril avoir commis tout acte d’« insurrection » lors de sa tentative d’imposer la loi martiale en décembre, au premier jour de l’examen sur le fond de ce dossier au pénal. Dans cette procédure, il risque la prison à vie, voire la peine de mort.