Nos sources de Sénégal7  nous révèlent  que Le 03 Janvier 2009, le président de l’Apr Macky Sall avait adressé une lettre à l’ancien président du Gabon Omar BONGO pour solliciter des  » conseils » et « un appui ».

A la suite de cette lettre, l’un de ses proches du nom d’Abdoulaye Saly Sall vivant au Gabon, avait été arrêté dans la circulation par la police pour un contrôle banal. Il sera appréhendé pour défaut de pièce mais en vérité, il était soupçonné de blanchiment de capitaux visant à financer le parti de Macky Sall.

L’actuel Chef de l’Etat sera convoqué  à son tour puis entendu au commissariat central de Dakar par le Commissaire DIAGNE.

Il était soupçonné de blanchiment de capitaux. Mais il ne sera pas poursuivi. L’enquête s’arrêtera en phase d’interrogatoire.

Comme, c’est le cas aujourd’hui avec Ousmane Sonko, le pouvoir libéral était soupçonné de vouloir freiner l’élan de l’Apr. Le PDS était accusé de complot et d’intimidation contre le leader de l’Apr. Mais  au moins, la police s’était intéressée à cette affaire avant de classer le dossier.

Si Macky était convoqué et entendu par la police à l’époque, Sonko n’est nullement directement inquiète aujourd’hui.

C’est dire que sous l’angle purement Républicain, Sonko et Cie ne devraient guère en faire trop sur cette affaire car Macky opposant avait été victime d’une telle adversité et il avait été même convoqué devant les limiers alors que ce n’est pas le cas pour le leader de Pastef.

La mondialisation qui procède d’une même vision,de la même façon d’agir de tous les pays ne doit pas être la porte ouverte à toute sorte de financements des partis politiques.L’argent d’origine criminelle ne chercherait que des preneurs pour être blanchis et le Sénégal peut éviter de tomber dans ce travers néfaste à notre économie.

Assane SEYE-Senegal7

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