Il comporte huit mutations alors que le premier en compte six. Le variant britannique, détecté sur le territoire sénégalais avec un deuxième cas officiel, inquiète les professionnels de la santé.

Selon le président de l’institut de recherche en santé, de surveillance épidémiologique et de formation (Iressef) de Diamniadio, il « est caractérisé par sa vitesse de propagation. On a vu que sa propagation est 70 % plus rapide que le précédent », avance Souleymane Mboup dans Lii quotidien.

« Ce variant, ajoute le spécialiste, existe et circule au Sénégal. Il circule à bas bruit, c’est-à-dire que le fait de ne pas le trouver ne signifie pas qu’il n’est pas là ».

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