Le cercle des étudiants orientés dans le privé a tenu une conférence de presse ce lundi 31 août. Ils dénoncent le forcing  du ministre Dame Diop, qui veut coûte que coûte tenir l’examen du BTS.https://googleads.g.doubleclick.net/pagead/ads?client=ca-pub-2842182435104673&output=html&h=280&slotname=9912319002&adk=743975754&adf=1404350224&w=753&fwrn=4&fwrnh=100&lmt=1598912387&rafmt=1&psa=1&guci=2.2.0.0.2.2.0.0&format=753×280&url=https%3A%2F%2Fsenego.com%2F5-mois-sans-cours-les-etudiants-du-prive-sollicitent-le-report-de-lexamen-du-bts-senego-tv_1148852.html&flash=0&fwr=0&fwrattr=true&rpe=1&resp_fmts=3&wgl=1&adsid=ChEI8L-y-gUQtY2uuMD1q7fpARJIALwsFlM6bqfVwvb_7XJG0JICk4C6wtOpaoNdW32rCVNoolPexKVLRJ0rxpyuF3yJ9F1ibPFKuB7UpmpmYU0DjxxBq2iy7OHS&dt=1598912526338&bpp=2&bdt=1425&idt=1612&shv=r20200826&cbv=r20190131&ptt=9&saldr=aa&abxe=1&cookie=ID%3D3d64f3ef50f07489%3AT%3D1592760359%3AS%3DALNI_MbvRskem0xb5O3o0_gafJTJ5v_-nw&prev_fmts=0x0%2C1158x280&nras=1&correlator=4852748628991&frm=20&pv=1&ga_vid=931464276.1592760191&ga_sid=1598912527&ga_hid=1245399185&ga_fc=0&iag=0&icsg=2228878&dssz=18&mdo=0&mso=0&u_tz=0&u_his=1&u_java=0&u_h=1080&u_w=1920&u_ah=1015&u_aw=1920&u_cd=24&u_nplug=3&u_nmime=5&adx=374&ady=434&biw=1905&bih=855&scr_x=0&scr_y=0&eid=21066153%2C21067166&oid=3&pvsid=91038395964401&pem=606&ref=https%3A%2F%2Fsenego.com%2Frubrique%2Feducation&rx=0&eae=0&fc=1920&brdim=0%2C0%2C0%2C0%2C1920%2C23%2C0%2C0%2C1920%2C855&vis=2&rsz=%7C%7CoeEr%7C&abl=CS&pfx=0&fu=8320&bc=31&jar=2020-08-31-22&ifi=2&uci=a!2&fsb=1&xpc=5CIVBWOpQv&p=https%3A//senego.com&dtd=1619

L’examen du BTS est prévu au 28 septembre. Ce qui est inadmissible selon le Cercle des Etudiants Orientés dans le Privé (CEOP), car certains sont restés presque 5 mois sans faire cours. Ils demandent au ministre chargé de l’enseignement supérieur, Dame Diop de repousser la date au moins de 2 mois pour permettre aux étudiants de regagner les classes.

Ces étudiants du privé dénoncent aussi le retard dans l’octroi des bourses. Selon leur coordonnateur Babacar Sall, il est inadmissible que ceux qui sont du public perçoivent normalement. Eux, qui n’ont droit qu’à une aide annuelle qu’ils perçoivent difficilement, menacent d’assiéger les locaux du ministère de tutelle, si rien n’est fait.

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